Cette année, j'aimerais faire davantage de tests de vins de fleurs. Jusqu'à présent, je n'ai testé que les classiques fleurs de sureau et pissenlit (je suis très content du résultat d'ailleurs), sachant que je vise plutôt des vins d'apéritif à boire en été. Dès lors : auriez-vous quelques expériences à partager ? Quelles autres fleurs ont donné d'excellents résultats ? Merci d'avance pour vos retours !
Remarque : à priori, j'avais pensé à la fleur d'Acacia comme prochain test, comme on m'en a dit du bien.
je me suis bien gardé de ne pas répondre, je fait des sirops de fleurs, des tisanes, des baumes, des conserves, des liqueurs mais pas de vin de fleurs
les vin c'est monvindefruit, pour te convaincre visite sa cave c'est mieux que la caverne d'Ali baba,
blup blup a écrit : ↑vendredi 11 février 2022 9:29
je me suis bien gardé de ne pas répondre, je fait des sirops de fleurs, des tisanes, des baumes, des conserves, des liqueurs mais pas de vin de fleurs
les vin c'est monvindefruit, pour te convaincre visite sa cave c'est mieux que la caverne d'Ali baba,
Héhé, oui je connais bien sa cave (j'y suis encore allé dimanche dernier). Merci qd même pour ton retour !
avec le gout de miel , l'accacia est délicieux juste 2 soucis
1 lors de la floraision il doit faire chaud >=24 degrés pour que le pollen et le nectar aient du gout
2 on ne prend que les pétales, et ôter les tépales est fastidieux
un truc, mets toi en dessous de l'arbre, et si il bourdonne d'abeille c'est le bon momment
J'aimerai essayer de faire des fermentations spontanées en levures sauvages, certains ont des retours d'expérience?
L'objectif est d'obtenir des pieds de cuve de levures pour la fermentation d'alcool de grain destiné à la distillation, des bières ensemencées avec des fleurs.
Je me lance là dedans après avoir suivi le travail de la distillerie "l'eau des vivants" qui travaille sur les levures indigènes!
Ma question porte sur le protocole : j'imaginais me faire des bocaux d'un litre, désinfectés, remplis à 50% d'un sirop à 170g/L de sucre, l'autre moitié étant composées des fleurs cueillies.
Après ensemencement du sirop, je poserai simplement le couvercle sur le bocal pour que le C02 s'échappe, et je suivrai la fermentation au réfractomètre, afin de voir la vitesse de fermentation et le taux d'alcool.
Maintenant j'ai plusieurs questions :
Si une levure retiens mon attention, pour son goût, sa vitesse ou son atténuation, comment conserver le pied de cuve? Rajouter un sirop tous les mois? Toutes les semaines? Congeler les lies? Ou bien dois-je nécessairement ensemencer un moût directement, et donc me retrouver avec des seaux de 15L partout chez moi...
L'oxygénation des levures pendant leur travail doit-il quand même être réalisé avec un micro-bulleur, et si oui, le fait de le plonger dans un bain de ChemiPro quelques seconde suffira? Afin de pouvoir tout oxygéner à la suite sans contamination.
Et enfin, est-ce que certain d'entre vous ont obtenu de bons résultats avec ensemencement via levures sauvages, sur des vins de fleurs de sureaux, pissenlits ou autre, par macération dans un sirop mis à fermenter.