Je dirais que 80 % provient de la nature pour les fruits sauvages, et de la manière de cultiver des variétés pour les autres.
Comment imaginer autrement ?
Dans le processus de transformation, si la matière première n'est pas bonne, c'est pas possible de faire de la qualité.
L'inverse n'est pas vrai : avec une bonne matière première on peut faire du mauvais.
Il reste donc 20% pour le travail du vinificateur.
Ce qui n'est pas négligeable.
Mais c'est plus sont "savoir-faire" qui prime.
Si je devais évaluer la part des "additifs" dans la qualité (levures et produits oenologiques), je dirais 1 à 3%.
Faut-il donc leur porter autant d'importance ?
A+
