Peter a récapitulé les deux méthodes de contrôle possibles.
Quand vous avez un refroidisseur pour le reflux interne sur le sommet d'une colonne garnie, vous devez régler le petit débit de l'eau de refroidissement du reflux, pour obtenir de l'alcool constamment à 94 % pendant le processus entier. Le débit est réglé par la température du sommet de colonne.
Quand vous avez un refroidisseur pour le reflux externe sur une colonne garnie, vous devez régler le débit du reflux-distillat qui retourne dans la colonne garnie, pour obtenir de l'alcool constamment à 94 % pendant le processus entier. Le débit est réglé par la température du sommet de colonne.
Je n'ai pas encore éprouvé le besoin d'un système de commande raffiné pour régler la chaleur entrée ou le débit de l'eau de refroidissement etc. Je crois que vous vous assurez d'abord que la conception de base est correcte, mettant en relation le taux de refroidissement (et le reflux produit) avec la chaleur qui entre ; une fois que c'est en équilibre le distillateur ne devrait pas avoir à s'en occuper. Trouver seulement le débit de l'eau de refroidissement, et le vérifier chaque demi-heure ou presque (se rappeler la règle capitale de ne jamais laisser un alambic sans surveillance!!)
Je pense que la meilleure solution est celle suggérée par Robert…
.. Ce que j'ai trouvé fonctionne pour moi, c'est une mesure de la température dans la chaudière ; cela me permet de voir combien d'alcool il reste dans le moût. J'ai installé un thermomètre à affichage digital de $30 avec une alarme de Jaycar Electronics dans la tête (voir le lien çi-dessous). Ça me permet de prérégler cette alarme, de sorte que je puisse surfer sur le net tandis que l'alambic est en fonctionnement et quand l'alarme sonne, j'y vais et j'ajuste le ratio encore plus bas. A la fin de la passe l'alarme me préviendra du début de la collecte des queues.
http://www1.jaycar.com.au/ Thermomètre d'intérieur/extérieur avec mémoire et alarme N° catalogue : QM7212 vous pourriez également essayer Dick Smith ou Tandy si Jaycar n'est pas près de chez vous ou si vous n'aimez pas.
Brian ajoute…
.. Numéro de pièce QM7212 chez Jayco. Je ne pense pas qu'ils aient autre chose en stock. Ils ont un module thermomètre avec alarme numéro de pièce XC0224 prix $39.50 ceux de chez Dick Smith n'ont pas de thermomètre avec une alarme.
Ce qui est sûrement bénéfique au distillateur profane c'est le contrôle de la chaleur entrée.
Étant donné le long délai nécessaire pour obtenir d'abord le moût à la température de distillation, il y a certains avantages à avoir une puissance d'entrée variable - ainsi vous pouvez la mettre plein pot pour monter en température, et puis arrêter la puissance une fois que vous distillez. Deux manières de faire ceci ;
Avoir deux éléments - un grand, un petit. Employer tous les deux pour chauffer jusqu'à la température, puis garder seulement le plus petit pour distiller. Ou
Employer un seul grand élément avec une commande variable.
D'autres trouvent que les contrôles du système sont un avantage, et apprécient le défi de les concevoir et de les régler. Aussi voici leur point de vue des choses.
Mike offre une manière simple de faire une chaleur variable en entrée avec juste deux éléments, et quelques commutateurs :
Pour les éléments W1 et W2, le rapport est :
1. Wmin = W1.W2/(W1 + W2)
2. Wa = W1
3. Wb = W2
4. Wmax = (W1 + W2)
Faire attention à évaluer les commutateurs correctement. I = DEUX FOIS Wmax/V (deux fois la valeur actuelle maximum réelle est bonne pratique) en prenant la puissance en watts maximum (dans ce cas-ci 3200W) ceci signifie Imax = 13,4 ampères à 240V ou 26,8 ampères à 120V donc prenez des commutateurs qui peuvent supporter 30 ampères (240V) ou 60 ampères (120V)
Il est implicite dans ce schéma que l'interrupteur d'alimentation principale, en bas intègre un FUSIBLE temporisé approprié et, de préférence, un néon pour montrer quand il est fermé. En outre il est également implicite que les fourreaux des éléments et la chaudière soient reliées à une bonne TERRE.
CONTRÔLER TROIS FOIS que tous les raccordements sont corrects avant de mettre le jus! Examiner d'abord avec une pile sèche et de petites lampe à la place des éléments chauffants.
DÉNI!!!!Je n'accepte aucune responsabilité quelqu'elle soit si quiconque se bousille et s'électrocute lui-même, fait exploser son alambic et brûle sa maison , les inondations, la peste, la guerre, les grèves surprises, ou n'importe quel autre acte que les dieux capricieux de la distillation peuvent infliger à n'importe quel distillateur malchanceux avec ce circuit.
Mike explique la différence entre le triac et les transformateurs/variacs, et les circuits de thyristor/triac
Si vous déplacez un fil sans un champ magnétique, une tension sera induite dans ce fil, l'intensité et la direction seront fonction de la vitesse à laquelle vous déplacerez le fil et dans quelle direction. La même chose se produira si vous déplacez le champ magnétique et gardez le fil fixe. Un transformateur travaille sur le principe suivant : si vous appliquez une tension alternative à une bobine, alors il se produit un champ magnétique qui change et re-change de direction avec la tension appliquée. Si ces champs variables traversent un autre enroulement de fils, alors une tension sera induite dans cette nouvelle bobine, et sa direction changera avec le champ magnétique, ce sera donc une tension alternative. Si vous vous assurez que les enroulements sont couplés étroitement, habituellement en les enroulant sur un noyau ferromagnétique commun de sorte que tout champ magnétique produit par le premier enroulement (le primaire) coupe le deuxième enroulement (le secondaire), alors la tension produite dans le secondaire sera directement proportionnelle au nombre de tours dans les deux enroulements. Par exemple, si le primaire a 100 tours et le secondaire 50 tours, alors les tensions seront dans le même rapport : Vs/Vp = 50/100, ainsi donc la tension du secondaire sera moitié de la tension imposée au primaire.
Un transformateur fixe multi-tension a un enroulement primaire et plusieurs enroulements secondaires, tous avec le nombre de tours voulus pour produire les tensions secondaires requises. Un variac a un enroulement primaire et un enroulement secondaire, et le nombre de tours « efficaces » du secondaire est changé au moyen d'un contact à glissement sur des « petits branchements » sur toute la longueur de l'enroulement secondaire. Par ce moyen, vous pouvez modifier la tension de sortie par étapes minuscules, chacune équivalente à un tour.
La chose importante à se rappeler avec les transformateurs est que la courbe du voltage de sortie suit exactement celle de l'entrée, changeant seulement en amplitude. Elle y a donc un « lissage » de la tension.
Pour être plus précis (et confus), l'onde secondaire est à la traîne derrière celle du primaire selon le chargement… le retard augmentant à mesure que la charge courante augmente, et suivant l'induction de l'enroulement. On parle dans ce cas de « facteurs de puissance » des moteurs, car l'enroulement du rotor du moteur agit non seulement comme un enroulement secondaire en termes d'extraction d'énergie mécanique à partir du champ primaire imposé à l'enroulement statique, mais également agit comme s'il était le primaire d'un transformateur avec l'enroulement statique du moteur en tant que secondaire. L'approvisionnement principal a donc une tension produite « reflétée » qui a lieu en déphasage avec lui, et ceci peut compromettre l'alimentation en énergie si ce déphasage n'est pas compensé. Heureusement pour vous, car vous traiterez seulement une charge stationnaire (un élément de chauffe), vous pouvez donc oublier tout ce charabia! :-))
Un thyristor est essentiellement une diode qui laisse passer le courant dans une seule direction. En conséquence, si vous appliquez une brève tension de « déclenchement » à une borne appelée la « porte » pendant le temps où le thyristor bloque l'écoulement du courant, alors l'effet de blocage sera arrêté jusqu'à ce que la tension appliquée tombe à zéro. Ainsi un thyristor laissera toujours passer la totalité du courant dans une direction (polarisation en aval), mais pourra commuter de zéro au plein courant dans l'autre direction (polarisation d'inversion) à tout moment que vous choisirez. Vous pouvez appliquer une tension régulière de « déclenchement » et faire agir le thyristor comme un bout de fil ordinaire, laissant passer le courant de deux manières en permanence, ou enlever cette tension de « déclenchement » et le faire agir comme une diode ordinaire. Alternativement, vous pouvez agir astucieusement et appliquer le « déclenchement » au même moment pendant chaque cycle de polarisation d'inversion et faire en sorte que le thyristor bloque l'action de la diode au même instant pendant chaque cycle. Car vous commutez alors le thyristor à temps avec la phase de la tension appliquée, ceci s'appelle la « commande de phase ».
Quand vous déclenchez le thyristor au milieu d'un cycle de polarisation d'inversion, alors vous obtenez un saut presque instantané de la tension de sortie de zéro à celle appliquée à ce moment là. Ce « dos d'âne » très pointu produit des « harmoniques » à haute fréquence qui peuvent être aussi hautes que les fréquences radio. Quand ceci se produit, vos voisins commencent à jurer car leur radio et leur TV commencent à grésiller et sauter avec votre « perturbateur de station ». Ceci peut être contrôlé grâce à des circuits appropriés qui absorbent et atténuent les courants à haute fréquence.
Un triac est essentiellement deux thyristors câblés en série, mais se dirigeant dans des directions opposées. Quand la tension appliquée est dans une direction, un thyristor peut laisser passer le courant, mais l'autre ne peut pas, et vice-versa, ainsi rien ne s'écoule. Ils ont une « porte » commune, et vous pouvez les contrôler tous les deux en même temps. Appliquer une tension régulière de « déclenchement » à cette « porte », et le courant s'écoulera librement dans les deux sens toute heure. Appliquer le déclenchement régulièrement en même temps à chaque cycle vers l'avant, et vous avez un dispositif qui agit comme un thyristor simple. Appliquer une tension de « déclenchement » en même temps à chaque cycle vers l'avant ET inversé, et vous aurez le contrôle du cycle entier de la tension d'alimentation imposée, à la fois vers l'avant et vers l'arrière, et vous aurez doublé votre efficacité. Il est également possible de concevoir des circuits qui déclenchent à un point dans le cycle vers l'avant et à d'autres dans le cycle inverse, mais ceci rentre dans le royaume des applications sophistiquées telles que la commande d'impulsion du radar.
Donc là vous avez la différence essentielle entre les transformateurs/variacs, qui produisent des courants de sortie avec une tension sinusoïdale variable sans à-coup (et ainsi ne pas avoir besoin de suppression électromagnétique), et les circuits de thyristor/triac qui produisent des sorties « sinusoïdalement contestées » qui ont les côtés de leur forme d'onde un peu coupés, ainsi qui ressemblent aux dents d'une scie (et peuvent donc rayonner comme un fou si ce n'est pas fermement encadré).
Pilch écrit.
Un contrôleur de vitesse d'un moteur de 10 ampères peut faire le travail. Pour ceux en Australie qui veulent du « disponible immédiatement » et pas sous forme de kit, contactez Ian chez « Likker 'n' Leather » email : pilch@tpg.com.au Si vous n'êtes pas un gourou de l'électronique il vous fera un bon prix pour un entièrement assemblé.
Tony écrit.
J'ai imaginé qu'en n'enlevant pas les parties non désirées d'un moût, j'avais une meilleure chance d'obtenir un alcool plus propre. C'est de cette façon que j'ai abordé ce problème sachant que nous sommes seulement intéressés par l'alcool, on doit maintenir la température du moût constante en-dessous de 84°C.
J'ai réalisé ceci en employant un triac pour commander la tension, réglé (dans mon cas) à 90 volts. Au début je commence à 240 volts pour porter le moût à 84°C, j'ai installé un thermostat au fond même de la colonne qui switche quand cette température est atteinte. Un dispositif électronique simple, un relais alimente le triac en changeant la tension de 240 à 90 volts. Ça fonctionne très bien. Si on joue avec la tension on peut toujours trouver le point d'équilibre pour un alambic particulier. Car une certaine quantité d'alcool arrive à l'extérieur pendant le processus, pour améliorer le reflux et la stabilité de la température du moût j'ai utilisé juste une courbure en S près de la commande supérieure de reflux avec un goutte à goutte constant d'eau pour remplacer l'alcool. J'ai trouvé que ceci travaille très bien.
Brian écrit…
J'ai été très intéressé de lire le sujet que vous appelez contrôler un triac. J'ai pensé que vous pouvez avoir envie d'aller sur un site Web BRITANNIQUE appelé http://www.sutronics.com. Ils vendent de petits gadgets appelés Burst Fire Modules [Modules de Mise à Feu]. L'un d'entre eux est un circuit miniature, tout ce que vous avez à faire est de raccorder un potentiomètre 100k linéaire, un radiateur et un triac dessus et il pilotera une plaque jusqu'à 4 kw avec le triac et le radiateur branché là-dessus naturellement. C'est un switch sur le pôle négatif et il n'y a pas d'interférences radios [IFR=Radio Frequency Interference]. L'autre module est déjà monté excepté un radiateur approprié. Tous les diags de câblage sont disponibles sur le site et les prix sont tout à fait raisonnables un petit £9 pour le premier et £25 pour le second
Maintenant, quand vous allez sur le site Web, vous verrez beaucoup de différentes options quant à ce que vous pouvez acheter. Ce que je vous recommande c'est d'aller sur le site Web cité au début de l'article : http://hbd.org/kroyster/
Une fois que vous y arrivez, cliquer sur le lien du côté main gauche vers la page pointée par « Design Details ».[conception détaille]. Ceci vous affichera une page qui explique son« Recirculating Infusion Mash System » [Système de Recirculation du Moût Infusé]. Si vous faites défiler vers le fond de cette page, vous trouverez des infos détaillées de l'auteur sur la façon dont il a employé son unité. NOTE : le lien que l'auteur a sur son site Web vers le fabricant de son PID n'est plus correct. Ils, Omega, ont réarrangé un peu leur site Web. Le lien que j'ai signalé au dessus est la page corrigée.
Tim a écrit.
« PID » est un acronyme pour « Proportional, Integral, Derivative » [Proportionnel Intégral Dérivé ]. Cela signifie que l'unité utilise du calcul dans son dispositif. Ceci signifie également qu'il incorpore un microprocesseur et un logiciel de fonctionnement. Ainsi, construire un de ces derniers serait un projet SÉRIEUX à lui seul. Il prendrait des CENTAINES d'heures à concevoir, construire et écrire le code. J'ai construit et programmé des dispositifs commandés par des microprocesseurs pendant des années - et je n'essayerais pas d'en faire un.
J'emploie un contrôleur d'une compagnie appelée la « CAL Controls ». J'en ai acheté un nouveau il y a plusieurs années pour environ $120. Il y a deux mois j'ai acheté le même modèle d'un surplus pour $50. Ils sont là si vous voulez les voir. J'imagine que n'importe quel régulateur PID de température fera l'affaire.
.. J'emploie le mien dans une SRMI (qui est un autre ATL… un Acronyme-en-Trois-Lettres ; -)) ce qui signifie « Système de Recyclage d'un Moût en Infusion ». Quand je fais un moût pour le brassage de la bière, le régulateur de PID surveille la température du moût. Il (idem le moût dans la distillation) est recyclé du fond de la cuve-matière, par une pompe, après un élément de chauffe intégré, après le thermocouple, et de nouveau sur le dessus de la cuve-matière. Le contrôleur a un mode « auto-réglage» ou mode « apprentissage ». Quand ce mode est activé, le contrôleur allume le réchauffeur pendant une courte période. Il surveille alors le taux d'élévation de la température et la température résultante réalisée dans une quantité de temps spécifique. Il « sait » alors comment votre système se comporte. De cette façon il peut faire donner la chaleur pour obtenir une température maximale dans le temps le plus court, et puis commence à régler le réchauffeur off/on (très rapidement) pour contrôler l'approche du point choisi. Et ceci en atteignant ce point aussi rapidement que possible, mais sans le dépasser. Puis, quand la température commence à chuter (refroidissement normal du système), le régulateur donne au réchauffeur juste assez de puissance de garder la température là où vous la voulez. Vous devriez compter être à +/- 1°C du point choisi. Dans un alambic, ceci signifie que quand l'alcool est parti et que la température commence à s'élever, votre réchauffeur s'éteindra et le distillat s'arrêtera. Il subsistera toutefois du moût restant au point choisi, et donc un peu de vapeur d'eau se condensera encore.
Allez voir ce qui suit :
http://www.cal-controls.com/ regarder sous « Temperature Controllers » [Contrôleurs de Température] - le mien est un modèle 9900
Aussi - il y a un mode « % de chaleur manuelle » sur ces contrôleurs qui vous permettront de régler la puissance du réchauffeur comme un pourcentage compris entre 1% et 100%. Ce mode n'utilise aucun thermocouple. Ainsi, si vous avez un réchauffeur de 2KW, le placer à 100% pour la mise en température, puis remettre en marche alors de nouveau à 50% (pour 1KW) pour la passe. Plutôt qu'essayer de contrôler la température de la vapeur, cela semble bien plus raisonnable en provoquant l'ébullition à la température que le mélange éthanol/eau autorise…
John ensuite a demandé ..
le site Web sur les calories détaille les 9900 comme ayant 9 emplacements de thermocouple. Ceci signifie-t-il que l'on peut raccorder ce PDI avec l'entrée et jusqu'à 9 thermocouples, réparties sur tout le reste de l'alambic?
ce à quoi Tim a répondu.
Niet - ça veut seulement dire que le contrôleur peut accepter l'entrée de 9 GENRES DIFFÉRENTS de thermocouples. c'est à dire. - J, K, T, R, S, etc. Chaque type a une échelle de températures différente (même si quelques types ont un recouvrement - ou les mêmes). Chaque type a différentes caractéristiques physiques aussi. Quelques types sont plus résistants à la corrosion que d'autres. J'emploie un type J.
Pour un tutorial vraiment bon sur les thermocouples, aller voir : http://www.tinaja.com/glib/muse144.pdf (ce site Web est étonnant ! - aller lire tout ce qu'ils disent - vous apprendrez beaucoup!)
Le contrôleur a seulement une entrée pour le thermocouple. Il y a 2 sorties depuis le contrôleur. L'une est un relais à contacts (travaille lentement), et l'autre un « solid-state-relay » (SSR) [Relais Statique]. Le SSR est employé pour commander un moût ou un réchauffeur d'alambic.
.. J'ai fait quelques recherches et j'ai trouvé un site Web où le gars a construit et programmé son propre contrôleur RIMS. Cependant, ce n'est pas un PID, mais cela fonctionnera probablement si le code était un peu changé. Il fournit un schéma et le code pour programmer un BASIC STAMP. Allez voir là : http://chattanooga.net/~cdp/rims/rims_inf.htm
Faire également une recherche sur « RIMS Controller » [contrôleur RIMS] sur un moteur de recherche. Il y a quelques contrôleurs de température à vendre sur eBay .....
J'ai eu le même problème pour abaisser la puissance d'entrée à la chaudière parce que je n'ai pas voulu installer un nouvel élément et j'ai dû travailler avec un élément de 2400W. Les transformateurs variables qui peuvent manipuler jusqu'à 8A sont très chers et le contrôleur triac m'aurait pris plus de temps à construire que ce que j'ai réalisé aussi j'avais besoin de mettre une résistance en série avec l'élément chauffant. Malheureusement pour réduire le nombre de watts à environ 1000W la résistance devra être en mesure de dissiper une quantité semblable de puissance.
L'idée m'est venue d'employer un élément de fourneau. En mesurant la résistance dans l'élément de fourneau et en l'ajoutant à la résistance de mon élément de chauffe 2400W dans la formule P=(I^2)*R et V=IR. J'ai trouvé que pouvais diviser la puissance par 2 ou par 3, ceci dépendant de la taille de l'élément de fourneau employé. (Les éléments de fourneau sont pratiquement gratuits dans les magasins de seconde main). Ainsi mon problème a été résolu très rapidement et à TRÈS bon marché.
Quelques avertissements :
a) Avec ce système il est très facile de s'électrocuter soi-même, ainsi la connaissance électrique est ESSENTIELLE. (C'est seulement un circuit simple mais il peut tuer très facilement si c'est un bricolage).
b) La plaque devient très chaude et doit être placée là où on ne peut pas marcher dessus ou recevoir des projections quelconques.
c) L'élément doit être dans un secteur aéré, n'importe quel espace ouvert suffira
Indépendamment de ça c'est au poil, ce n'est pas joli, ou propre, et ça a un facteur de puissance terrible, mais cela fonctionne extrêmement bien et peut être fait en 5 minutes.
J'espère que vous trouverez que c'est une idée originale pour résoudre un problème commun. J'ai construit un contrôleur de triac maintenant, mais c'était ma méthode de départ.
Le Microprocesseur d'Andrews
Andrew écrit…
L'alambic que nous sommes en train de réaliser est au milieu de sa construction maintenant. Il a une urne à thé de 40l, une grande colonne à reflux de 1m (maintenant garnie avec des scrubbers en inox après la lecture de votre site), une pompe péristaltique pour commander la vitesse d'aspiration et une foule d'appareils électroniques. Les choses principales que mon contrôleur fera sont
Mesurer la température d'entrée et de sortie de l'eau de refroidissement, ajuster alors le débit pour garder une puissance en watts régulière du refroidissement.
Mesurer la température de la tête de l'alambic et noter les données (ainsi on peut plus tard le représenter graphiquement sur un ordinateur pour vérifier que tout va bien.
Mesurer la température du moût (et noter les valeurs).
Commander une pompe péristaltique pour l'aspiration du distillat à une vitesse précise (comme 4ml par minute pour un Nixon/Stone par exemple) au lieu de cette connerie avec une vanne à pointeau.
Commander une ceinture à bande motorisé de plateau tournant qui change les récipients de collecte au moment voulu.
Tout ceci sera fait par un itsi bitsi petit microcontrôleur et l'ensemble entier devrait coûter moins de $150 prix public à la construction. (Si ça intéresse du monde je peux également en faire pour vous).
Restez à l'écoute ici ... Andrew a offert à décrire le tout en détail et, etc - un grand merci à lui!!. Andrew met également en garde sur les contrôleurs de triac ..
..on peut être hésitant au sujet du contrôle par un triac car celui-ci dans la plupart des pays autour du monde est maintenant illégal pour piloter des mises à feu au-dessus de cent watts. Le pilotage des grandes charges mettant en jeu des puissance importantes.
David
David Reid écrit…
Vous devriez employer au moins un contrôle par triac de charge constante lié à une sonde de température correcte telle qu'un thyristor autrement vous perdez l'avantage d'une conception intéressante de la colonne pour commencer.
Si vous ne voulez pas le faire parce que vous n'avez pas les moyens ou vous êtes trop radin pour dépenser de l'argent allez piquer un rhéostat correct sur un fourneau dans une déchetterie et employez au moins ça.
Vous avez sûrement besoin d'un contrôle du système de chauffage. Les chances qu'il y en ait un en place sont pratiquement négligeables ; il est plus probable que le contraire, que ce sera trop chaud au moment ou il faudra le diminuer un peu. (Trop froid et vous auriez pu faire avec un élément plus grand pour commencer mais 750w devrait être suffisant en dehors d'apporter la mixture à température. Trop chaud et vous faites bouillir les tripes du mélange à vous boucher le nez pour les coupes).
Rappeler vous que avez ce que vous payez.
J'utilise une vanne à solénoïde pour ouvrir et fermer l'eau et une vanne à pointeau ajustée manuellement pour commander l'écoulement. Merci de noter que la température au point de contrôle [takeoff????] est différente de la température dans la chaudière, et peut changer selon l'alambic. C'est un point où il y a un peu de désaccord sur la localisation des sondes. Certains arguent du fait que parce que vous voulez commander la température dans la chaudière alors c'est ce qui commande la plupart des autres températures dans la colonne etc. et que c'est là où vous avez besoin de la sonde et de travailler à partir de ce point. En un sens ils ont raison. Moi et la plupart des personnes qui savent ce qu'elles font adoptent une attitude légèrement différente sachant que le point où la température est le plus critique dans un alambic est toujours est le point [takeoff????] ou de condensation. J'ai donc monté le capteur critique sur le retour en utilisant l'isolation et les autres aspects du process du design pour réduire au minimum les différences entre la température à ce point et la chaudière. La situation idéale est d'avoir 2 ou 3 sondes chacune à des points de surveillance différents, dans ce cas le contrôle et le pilotage des diverses situations deviennent beaucoup plus impliquées.
La sonde de température ne doit pas toucher les serpentins de refroidissement. Vous devez mesurer la température de la vapeur à cet endroit. Veuillez noter que l'eau vaporisée augmente de quelque chose comme 1500 fois son volume. L'endroit et la profondeur de la sonde est critique. Tellement que beaucoup de personnes qui font des alambics n'ont pas le premier indice et il y a tellement d'information fausse là-dedans. Avant d'aller plus loin et concevoir un contrôleur qui pourrait fonctionner il faut rechercher correctement sur ce sujet et lire quelques livres bien informés. La majeure partie des personnes qui conçoivent un alambic est trop paresseuse ou trop arrogante pour faire même cela. Si vous pouvez voir comment quelqu'un d'autre a réalisé le projet vous pouvez l'admirer ou modifier sa pensée. Très souvent vous pouvez même améliorer leur concept initial. Premièrement vous devez séparer le bon grain de l'ivraie. De cette façon vous pourrez concevoir un contrôleur qui fonctionne. Les commandes PIC ["Programmable Interrupt Controller" Controleur d'interruptions programmées] ont certainement leurs places et l'intégration appropriée de ces dernières dans les alambics du futur sera banale et c'est l'une des meilleures solutions disponibles.
Le Triac de Jan-Willem
Jan écrit…
Quand la puissance fournie est trop importante tout grimpe aux rideaux. Il doit y a une sorte de rapport entre la puissance fournie, le volume de la chaudière et la capacité de refroidissement. Ainsi si vous commencez par une ébullition faible, gentille et ensuite de conserver la chose. Avec le gaz c'est facile (?) de monter et descendre, avec l'électricité c'est légèrement plus difficile.
Je ne sais pas si vous pouvez le construire vous-même, mais sur mon site il y a un contrôle par un triac très simple, et celui-là peut faire 2,5 kw. C'est un contrôleur très sain à la base. J'ai expérimenté avec un contrôleur proportionnel pour diminuer la température mais c'était un poil surpuissant à mon avis. Mais moi je ne cours pas après un MEGA-ALAMBIC avec une sortie en continu etc. etc. c'est juste un passe-temps et quand il fonctionne je suis TRÈS proche…
Vous pouvez trouver ma page d'accueil (si mon fournisseur est toujours vivant) chez http://home.planet.nl/~jwdob/ puis allez à distillation
Le Minuteur de Ross
Ross utilise un minuteur pour l'aider avec les longs temps de distillation induits par la haute pureté d'un alambic Nixon/Stone…
J'alimente par gravité mes deux unités, à partir d'un fût de 200l en haut sur la véranda. En utilisant les 10 mètres, taille peu courante, du serpentin de refroidissement je constate qu'un écoulement de 250 ml/minute est suffisant. Mon problème est que je suis branché sur l'eau du réservoir et que la pompe de pression est en bas sous ma chambre à coucher, ça couperait toutes les 30mins et me garderait éveillé :((
Maintenant j'ai une vanne à solénoïde sur un horodateur qui remplit le fut de 200l toutes les 12 heures. C'est plus sympa pour moi et la pompe. Je fais fonctionner des timers et des solénoïdes à la fois sur les deux alambics, je peux lancer les alambics à 1h du matin et l'unité en inox a goutté à peu près 6-7 litres à 60-70% pas très pur et [mon alambic] est bien équilibré à 7 heures du matin. Le système entier est très facile à utiliser.
Il est peu un tôt encore pour fournir des temps précis, mais 5l d'eau (pour recouvrir l'élément) et 20l à 60-70% impurs prennent environ 48-50 heures avant que la température s'élève au-dessus de 80°C et j'arrête
Triac de Smithers
Smithers (de http://go.to/distil), qui est un technicien électronique dans le commerce, suggère la chose suivante ..
IMPORTANT : LIRE D'ABORD
NE PAS ESSAYER D'ÉTABLIR CE CIRCUIT À MOINS QUE VOUS SOYEZ QUALIFIÉS OU EXPÉRIMENTÉS AVEC LES TENSIONS ÉLEVÉES. CE CIRCUIT IMPLIQUE DE COMMUTER UN ÉLÉMENT QUI PEUT ALLER JUSQU'À 10AMPS, SI VOUS VOUS PLANTEZ ÇA VOUS TUERA. VOUS POUVEZ ACHETER DES CONTRÔLEURS COMME CES DERNIERS (VOIR PUBLICITÉ) DANS DES MAGASINS D'ÉLECTRONIQUES, MAIS PUTAIN QU'ILS SONT CHERS.
Vous devrez télécharger le dossier pdf ci-dessus (page 14, 15) pour comprendre ce dont je parle ci-dessous.
J'ai fait quelques changements pour la sécurité et pour compenser l'approvisionnement en 240V 10Amp que nous avons. Ils sont les suivants :
D1 1N4007
RD 6,8Kohm 10W
RS 180Kohm
RG 110ohm (100 et 10)
Le triac était un BT-139-800
Le réchauffeur (charge) est un élément de 1380 watts. En théorie ce circuit peut manipuler 2,4KW
Ct 1uF 63V
Rntc j'ai remplacé celui-ci par un résistance de 22kohm car je n'ai pas eu besoin d'un retour de la température
R1 18kohm
la borne 5 de TDA1023 est mise à la terre pour donner le contrôle de 400mV
J'ai joué autour avec des résistances entre la borne 11 et RP (40kohm) et également entre le RP et le neutre (37kohm), c'était seulement pour équilibrer le potentiomètre dans la gamme de valeur que je voulais.
J'ai également placé un indicateur au néon à travers la charge pour me donner un visuel de la mise sous tension de l'élément
Refroidissement
Le triac exige une quantité considérable de refroidissement, j'ai utilisé un radiateur à ailettes (100mm x 45mm x 45mm) qui le maintient relativement frais, j'ai également employé des vis en plastique, des composés résistants à la chaleur et une rondelle en mica pour isoler électriquement le triac du radiateur.
La résistance RD dissipe approximativement 5W, ainsi je conseille que vous y associez un radiateur également, ce composé sera baisé par la chaleur si vous ne le faite pas. Montez le dans une boîte en plastique de préférence bien aérée.
C'est tout ce que j'avais à vous dire. Cela fonctionne vraiment bien et je l'ai employé sans ennuis depuis environ 25 passes (de 6 heures). L'indicateur au néon est une bonne idée et vous fait savoir que tout travaille bien.
Andrew Graham fournit des détails (diagramme, liste des pièces, et explication) sur comment construire un contrôleur de température bon marché et simple chez http://www.shortcircuit.com.au/EVCA/tcc.htm.
Contrôleur de Reima
Reima écrit
J'avais l'habitude de chauffer mon vieux baril de bière en inox avec un réchauffeur d'immersion de 0,6 kilowatts (celui avec un raccord mâle standard de 1" dessus [BSP=British Standard Pipe]), puis je l'ai cramé et j'ai constaté qu'ils ne sont pas faits pour plus, et donc j'ai décidé d'acheter deux réchauffeurs de 1,2 kilowatts et de les faire fonctionner connectés en parallèle pour élever la température (2400W) et puis de les commuter en séries = deux fois la résistance et moitié de la puissance = 0,6kW.
Ici dans le Queensland vous n'avez pas besoin de plus si vous n'avez pas un lac pour l'eau de refroidissement.
J'ai mis également un élément cartouche minuscule de 100W dans le baril, il est raccordé à un variateur ordinaire de veilleuse, ainsi ceci me donne 600 + (100W d'ajustement variable pour un réglage fin).
PS. Les variateurs de lumière peuvent bouffer jusqu'à 300W pour l'ajustement fin de chauffage et ce serait mieux en hiver, mais vous prenez ce que vous avez ;-)
Voir les schémas ci-dessous (clic pour agrandir).
Contrôleur d'Angle de Phase de Neils
Neil écrit.
Pour ceux qui souhaitent régler les éléments de grande puissance (3-6kW) pour les ramener à une puissance inférieure. Oubliez les grands rhéostats, variacs etc. Employer un contrôleur d'angle de phase de 6kW. Recherchez la-dessus sur le site Web RS spécialisé dans les composants http://rswww.com, vous aurez besoin de trouver un revendeur local, ou récupérer l'info et trouver un fournisseur local
Contrôler les Chaudières au Gaz
Craig offre :
J'ai une chaudière à gaz (propane) et je contrôle l'entrée de la chaleur en mesurant la température de sortie de l'eau du condenseur de refroidissement pour obtenir une approximation de la chaleur entrée dans la chaudière. Le schéma que j'emploie est le suivant :
Pendant que la chaudière se réchauffe et ne produit aucune vapeur, j'établis une vitesse d'écoulement d'eau par le condenseur qui est mesuré en chronométrant le temps qu'elle prend pour remplir un cylindre gradué de 500ml. Je convertis alors en l/min (exemple 500 ml en 35 sec = 0,5L/35 sec * 60 sec/minutes = 0.875 l/min) et j'injecte ce nombre dans la variable « Flow » de ma calculatrice scientifique une HP 48SX. De plus à ce moment, je mesure la température de l'eau de sortie du condenseur et parce qu'il n'y a aucune chaleur entrée dans le condenseur la température d'admission (Ti) est égale à la température de sortie. J'injecte cette température dans la variable « Ti » de ma calculatrice.
Quand l'ébullition commence, je réduis l'entrée de la chaleur sur la chaudière et par expérience je sais que la température de sortie du condenseur avoisine les 55°C. Après que la température de sortie soit stabilisée, j'écris cette température dans ma calculatrice et exécute le programme pour déterminer la chaleur entrée dans mon condenseur qui devrait étroitement se rapprocher de la chaleur entrée à la chaudière. Tandis que sur le reflux total, j'ajuste l'entrée de la chaleur de chaudière sur les watts désirés.
J'ai un thermomètre numérique de chez Omega avec une entrée double. Avec un des thermocouples je peux surveiller la température principale ; l'autre la température de sortie du condenseur. Puisque les thermocouples sont d'une mesure fine, j'ai pu faire des trous d'épingle, à hauteur d'épaule, dans les tubes en vinyle clair (5/16"ID) et insérer le thermocouple directement dans le flux de sortie d'eau du condenseur. Cet arrangement m'a permis permet de fixer et de contrôler le débit d'eau de refroidissement. J'ajuste le débit à une valeur où le trou du thermocouple se ferme juste pour sucer l'air dans le jet de refroidissement d'écoulement d'eau. Si l'écoulement augmente le trou laisse fuir l'eau ; s'il diminue il suce l'air.
La calculatrice est programmée avec l'équation suivante :
Q(watts)=Mr×Cp×(Ti-To) )
Ti = Température d'admission du condenseur en °C
To = Température de sortie du condenseur en °C
Mr = Vitesse d'écoulement de la masse d'eau du condenseur en kg/sec
CP = 4200 (Watts.sec)/(kg.°C) - Chaleur spécifique de l'eau à approximativement 50°C
Le programme spécifique pour la calculatrice HP 48SX est :
Établir les variables « Watt », « Ti », et « Flow »
Clef dans < < Ti-Flow*4200*60 / > > et stocker dans « Watt »
Stocker la température d'admission dans « Ti »
Stocker le débit dans « Flow »
Écrire la température de sortie dans l'affichage
Appuyer sur la touche Watt pour exécuter le programme
Les watts devraient apparaître
Note : Le flux, bien que mesuré par un taux volumétrique, correspond étroitement à un débit de la masse pour une plage de température donnée (1 litre H2O ~ 1 kg H2O)