Photos des Alambics à Reflux

Voici un panorama général des alambics à reflux.

L'Alambic de Marty

L'Alambic de Peter avec une de bouteille de vodka comme condenseur
Il est installé en mode « reflux d'ambiance » dans la première image. La colonne est de 1,7m.

Elle peut être transformée en gestion de vapeur en mettant une bouteille de vodka sur le dessus, et une vanne sur la sortie horizontale.

Le baril a les découpes pas mal abimées et une série de goujons M6 soudés sur le dessus, raccordés à une bride tenue avec des écrous.
J'ai découpé le fond de la bouteille de smirnoff en l'enveloppant d'un ruban. Ensuite j'ai utilisé une lime en acier ordinaire pour marquer une ligne tout autour du fond en utilisant le ruban comme guide. Vous devez ralentir au départ, parce que la lime a tendance à glisser. Une fois que vous avez limé un petit peu vous ne devrez pas être si soigneux parce que la lime glisse facilement dans la cannelure. Ensuite je chauffe la bouteille en la posant directement sur la plaque chaude de la cuisinière pendant quelques minutes et puis je la plonge dans l'eau froide. Ces bouteilles de vodka sont très dures et il est parfois nécessaire de faire quelques essais avant que la base ne se détache. J'ai utilisé un diamant à couper le verre également, mais je trouve la lime plus facile. Sur les forums quelqu'un a mentionné l'aide d'un graveur métallique vibrant. Presque tout le monde aura une lime cependant. J'ai coupé des bouteilles de vin sans marquer la bouteille du tout, juste chauffer et eau froide, environ 1 bouteille sur 4 se casse correctement. [Note du transcripteur : quand j'étais gamin je découpais des bouteilles pour en faire des nasses à vairons. Une ficelle trempée dans du pétrole (essence) nouée à l'endroit de la coupe, on y met le feu et quand c'est fini on plonge tout de suite dans l'eau froide] La bouteille cassée doit être poncée (limée) pour éviter de se couper. C'est grand de pouvoir voir le reflux en action. Cette photo montre vraiment ce qui se passe, mais je pense que la vitesse de l'obturateur de l'appareil photo a été trop lent pour saisir la scène. la colonne est en inox aux 2 extrémités et a une pièce maîtresse en cuivre d'environ 1,40 m dans laquelle sont insérés des tubes en inox qui font un ajustement parfait. Elle contient 20 tampons à récurer en inox. Elle est isolée avec un grand rouleau en carton qui est garni fortement d'un isolant pour grenier en fibres de verre entre le carton et la colonne. Ce que vous pouvez voir dans la photo c'est le fil à plomb que j'ai mis sur la colonne, je mets le carton sous les côtés du baril jusqu'à ce que la colonne soit parfaitement verticale.

L'Alambic de Dom
J'ai construit moi-même ma propre tête décalée.
L'ensemble se démonte pour un stockage, un nettoyage et un transport plus faciles. J'ai des plans pour une plus grande chaudière car celle-ci est inférieure à 19 litres.

L'Alambic de Tim J

Projet de Ken et de Mikes
Nous obtenons 2,7 litres avec 23l de moût à 10,7%. Ils sortent à 91%

Mike : Nous avons épuré avec du charbon actif et employé du sucre caramélisé pour la couleur et des morceaux de chêne grillés macèrent dans le produit dilué (à 52%) pour la vanilline.

J'ai isolé la chaudière pour la rendre plus efficace (autour du pot et un morceau rond sur haut du pot, comme sur la photo). J'ai également calfeutré la colonne avec 2 bouts d'isolant pour un tube de 1" en cuivre. (une seule pièce par côté… voir la photo). D'ailleurs… j'utilise 7 épurateurs en laiton du marché de Zehrs de ma colonne et ils ne donnent aucune saveur supplémentaire!!! Une fois roulés entre les mains… les épurateurs ont environ 5" de long et 2" de diamètre. A mettre dans la colonne lentement et soigneusement !!!

(voir également la recette de Mike pour le Rhum épicé du Capt. Morgans de)
Ken : La température de la chaudière : Mesurée sur le couvercle pour une meilleure idée de la température de la vapeur car c'est la partie la plus controversée. En gardant la température entre 198-206°F (92-96°C), nous pouvons déterminer quand le wert devient trop chaud et exhale une odeur « saumâtre » qui peut être atténuée avec du charbon actif mais jamais tout à fait. Maintenant, Mike et moi avons des avis légèrement différents sur l'aspect des queues mais nous convenons que la carbonisation du wert est ce qui donnait aux premières passes de rhum un côté désagréable. Nous avons vraiment donné et l'avons bu en entier mais avec les nouvelles valeurs nous avons fait un rhum très savoureux. L'arômatisation finale avec des clous de girofle et la cannelle apportent une touche particulière. Quand la température du couvercle atteint 208F (98°C), arrêter l'alambic. Je sais, il en reste encore venir mais j'ai trouvé un écart de +4 degrés entre le couvercle et le corps de chaudière. Dès que le corps de chaudière atteint 212°F (100°C), le wert commence à brûler et ça… sent… ça arrive à travers le produit.

Variateur : Parce que nous utilisons des éléments de chauffe de 2/1500 watt sur un réservoir d'eau pour la chauffe, nous obtenons la température sur 23L en environ 45 minutes. À ce moment là, nous commutons sur un élément seulement (c'est suffisant pour maintenir la température) commandé par un variateur à 105-107°F. C'est gentil tout plein comme utiliser un rhéostat de fourneau à 9 au lieu de 10. Ça ralentit le chauffage pour augmenter le temps de la passe et pendant que l'alcool est bouilli, la température s'élève. Nous ne faisons pas une ébullition complète, juste un léger frémissement.

Nous avons également constaté que nous avons seulement besoin de 2 tampons (effilochés jusqu'à en pleurer) dans la colonne que vous voyez sur la photo. Nous en avions ajouté encore plus mais il fallait beaucoup plus de chaleur pour obtenir un écoulement. Nous épurons de l'eau distillée avec rien dans la colonne et avons décidé qu'un minimum était suffisant. Pour aider le reflux à se produire plus vite sans trop perdre en pourcentage, (environ 5%) nous n'avons pas dû faire la passe aussi chaud et avons fini avec un résultat plus doux. Nous ajouterons 1/2 tampon pour la prochaine fois mais nous sommes sur la bonne voie. Garder à l'esprit que ces tampons ont été étirés presque à la longueur de la colonne et enroulés sur eux-mêmes. Il semble que ça donne les mêmes résultats que des anneaux de rashig.

http://ponu.haisee.com/
Reima me dit que… « il y a un alambic bien fait chez http://ponu.haisee.com/ seulement c'était dans mon vieux jargon alors j'ai interprété ça en espérant que le propriétaire ne le pensait pas. Ça devrait titiller les esprits de ceux qui font joujou avec les thumpers, car il semble en avoir construit un »

La colonne basse a 300-400mm de haut. La haute 250mm. Le tube rouge est de 8mm et le bleu de 10mm, c'est du cuivre .

Ceci réalise une double distillation dans la même passe, c'est construit comme un thumper, et c'est autorégulateur. Seul un réglage particulier est nécessaire pour l'écoulement de l'eau de refroidissement. La vapeur passe par « A » et condense dans le tube bas grace à l'enroulement inférieur de 8mm réalisé avec un tube de cuivre d'une longueur de 1m environ. Dans cet enroulement, les vapeurs sont environ à 90°C et une nouvelle ébullition du distillat se produit. Au fond de cet enroulement il doit y a une poche liquide de 50mm (un repli vers le haut). L'éthanol plus léger dans cet enroulement bout et voyage jusqu'à la pièce en T et au condenseur, les produits plus lourds repartent vers la chaudière via la poche.
Les deux colonnes ont 60mm de diamètre extérieur et sont en inox
La colonne basse fait 350-400mm et la haute 250mm.
Les enroulements sont faits dans un tube de cuivre de 8mm. Tube A 10mm et le tube B 8 mm.
La chaudière est de 20 litres sur une plaque de chauffage de 1 kilowatt.
La longueur d'enroulement du condenseur n'est pas importante, 0.5m suffisent. La pression la plus élevée dans ce système représente une colonne d'eau de 50mm.

Quand le tube A commence à se réchauffer il est temps de mettre un peu d'eau de refroidissement, seulement en peu. Il ne faut pas faire couler trop fort, si c'est trop froid il n'y aura rien. Essayer de maintenir le haut de la colonne basse à une température accessible à la main quand la partie supérieure est chaude. Et rappelez-vous que plus c'est lent plus ce sera fort.

Colonne POS Firewater Hook de Scott et condenseur lance-flammes email : goyeast@yahoo.com
C'est ma colonne et condenseur, assemblés sans les tubes. Ils réalisent un reflux total par défaut, et le distillat est retiré par l'intermédiaire d'une vanne. J'ai depuis rajouté une vanne à pointeau au-dessous de la vanne initiale afin d'effectuer un contrôle plus précis. Avec un élément de 750 watts, j'ai sorti 400 ml par heure d'alcool à 95%+, ce qui n'est pas très rapide, mais j'ai acheté un élément de 1500 watts qui augmentera probablement ce rendement de manière significative. La colonne est de 45" X 1,5" (1,15m x 40mm) et est garnie avec des tampons à récurer en inox. Le condenseur est de 44" (1,10m) de long, avec une partie doublée de 26" x 0,75" (66cm x 20mm) autour d'un tuyau de 0,5"(13mm) (beaucoup plus long que nécessaire, j'ai trouvé).

J'ai seulement deux remarques à faire sur ce concept.
1) Le condenseur est vissé sur la colonne, aussi afin de faire couler l'alcool, je dois envelopper la partie mâle de l'ajustage de la colonne avec une bande de téflon et bien m'assurer que la vanne soit dirigée vers le sol.
2) Une fois assemblée, la colonne et le condenseur doivent être stablisés. J'emploie une armature en bois faite maison qui fonctionne bien.

Les Alambics de Pilch
Pureté : 92%

L'Alambic de Mikrobios
Pureté 94.5-95.0% à 40 mL/min

La chaudière est un récipient de 30l en acier inoxydable vendu comme fermenteur. Elle est italienne, et est importée au RU par Brupaks Ltd. La colonne est de 1020mm de long, c'est un tube de cuivre de 54mm avec 20 tampons en inox, isolée lorqu'en service et sans tubes passant au travers. Au dessus de la colonne il y a un condenseur de reflux à eau interne (22mm intérieur, 28mm externe) de 300 millimètres long. Au-dessus une prise de thermomètre. À partir de là une pièce en T et un condenseur final interne (15mm intérieur, 22mm externe) de 530mm de long descend en parallèle à la colonne et aboutit dans un récipient.
Le système d'écoulement de l'eau est peu un différent de la plupart des autres matériels. Alimentation en eau de refroidissement à la base du condenseur final et sortie par le haut. Deux robinets sont placés en parallèle ; on ajuste l'approvisionnement sur le condenseur à reflux ; le second permet de shunter le condenseur. L'eau part du dessus du condenseur à reflux et tombe par un bec dans un récipient de distribution. Les eaux résiduelles sont recueillies dans un tube simple d'où elles s'évacuent du système.

a) condenseur de reflux (l'eau fraîche entre à la base)
b) condenseur de collecte
c) robinet de bypass de reflux
d) robinet d'approvisionnement de reflux
e) prise du thermomètre
f) eau quittant le système

En service, un reflux total est facilement maintenu à une ébullition régulière (c fermé, d ouvert) pour, disons une demi-heure ; ensuite c est partiellement ouvert et des fractions sont enlevées. Je n'avais pas de bec ni de récipient de distribution au début, et je constatais que des poches d'air se produisaient au dessus du condenseur à reflux vers la fin des opérations quand l'eau était chaude. Quand j'ai mis le bec et le récipient de distribution (ce qui donne à l'ensemble un petit air étrangement victorien) le fonctionnement est devenu beaucoup plus stable, sans cette formation de poches d'air, et l'équilibrage du système de refroidissement entier à la pression atmosphérique. Ce récipient de distribution permet une inspection visuelle des vitesses de refroidissement d'écoulement de l'eau dans le reflux. Bien que ces deux robinets semblent primitifs, ils répartissent seulement l'écoulement de l'eau à la pression atmosphérique et ils n'ont pas besoin d'une très grande précision.
Mise à jour. J'ai pensé à envoyer une image de ma nouvelle tête excentrée, qui a remplacé mon vieux modèle à deux condenseurs. Ce nouveau matériel est bien mieux ; il offre bien plus de contrôle sur le reflux. La colonne est, comme avant, juste un mètre de cuivre en diamètre 54mm, remplie d'épurateurs en acier inoxydable. La chaudière de 30L en inox est chauffée au gaz.

Maintenant j'ai fait quelques passe pour le prendre en main. J'essaye de faire le processus entier en gardant au-dessous de 80 degrés à la tête de colonne. Vers la fin j'augmente le ratio de reflux en augmentant le gaz et en coupant la collecte. Avec une colonne large ça marche vraiment bien. J'abandonne quand les retours diminuent, ce qui se produit plutôt soudainement ; c'est un peu comme un commutateur qui se ferme (le processus de fractionnement doit être très efficace.) le processus entier dure 2h 30mn à partir de zéro (25l)
Je me suis creusé la tête pour trouver une manière facile de nettoyer la colonne ; l'eau ne le fait pas très bien. La vapeur montante est inefficace, car les fusels dans la colonne condensent et retombent à nouveau dans la chaudière et souillent l'eau. Maintenant je passe la vapeur de haut en bas par le trou du thermomètre après avoir vaguement couvert le dessus du condenseur avec un petit poids (pour la sécurité). Ceci semble très efficace - les fusels sortent rapidement et la colonne entière sent doux et frais après dix minutes.

Mon épouse et moi appréciont l'alcool obtenu à partir d'un jus de sucre/raisin/de vin d'orange. Énormément de saveur parfume le distillat, ainsi (après avoir jeté les 50 premiers ml) je prends seulement la peine d'épurer le premier et le dernier quart du produit (après dilution), et je mélange ces derniers au reste non épuré. L'« épuration » est un passage lent sur environ 10cm de charbon actif. Cet alcool fait une bonne vodka et une bonne base pour le gin.

L'Alambic Refroidi à Air de Victor
J'avais bricolé avec le brassage maison et les choses de la distillation pendant un petit peu de temps et j'en suis arrivé au Mk3 de mon équipement de distillation.

Mk1 était simple potstill.
Mk2 était un reflux assez court (colonne approximativement de 500mm).
Mk3 est celui-ci.

Seule la chaudière a survécu aux trois aventures. Je n'ai employé aucun calcul quelconque, mais j'ai compté sur l'aide d'un ami ingénieur dans la chimie (qui a construit l'équivalent d'un 60 plateaux, une colonne à reflux d'un diamètre de 75mm longue de 6m, 7kW chauffé à la vapeur une colonne à fractionnement en employant le calcul) pour les conseils sur les principes de base. Le résultat que j'ai obtenu (je crois) est exceptionnel.

En partant du bas vers le haut, les composants sont,…
1. Plaque électrique de 2kW.
2. Chaudière de 15 litres.
3. Une colonne à reflux de 1,5m de long et diamètre de 50mm, garnie avec de la laine en acier inoxydable.
4. Contrôleur de reflux.
5. Tour de refroidissement refroidie à l'air, y compris le thermomètre.

L'assemblage de tous ces composants prend 5 minutes. Amener 13 litres de moût jusqu'à la température de refux prend beaucoup plus longtemps, 2 heures, une vitesse limitée par la puissance de la plaque de 2kW. Je peux réduire ce temps par un préchauffage du pot sur la plaque de 3,5kw de la cuisinière et puis j'assemble l'appareillage de reflux.
La chaudière est un pot de 15 litres. Je ferme le couvercle avec une bande en acier garnie de caoutchouc. J'ai fait ce joint à partir d'un rond en caoutchouc (un certain type), coupé à la longueur avec une épissure en guise de joint et collée avec de l'adhésif de contact. En dépit de tous les avis, il a duré et duré et ne donne aucun signe de détérioration. La bande en acier qui bloque le couvercle et le pot vient d'un bidon de peinture de 20 litres. Enlever simplement la bandes existant au-dessus de la fermeture de levier central, ajuster sa longueur pour l'adapter à votre pot, la fixer sur un écrou à chaque extrémité, forer un de ces écrous, et adapter une vis de réglage appropriée (par exemple : un boulon entièrement fileté.) pour serrer la bande, et fermer le pot.

Les attaches de la colonne de reflux au couvercle du pot. En raison de la longueur de la tour, trois questions se présentent.
1. Le pot est seulement de 0,8mm d'épaisseur, aussi j'ai plié une nervure de 1,2mm et je l'ai riveté au couvercle pour améliorer sa rigidité.
2. J'ai attaché la colonne au plafond avec de la corde. Je ne veux pas que quelque chose se renverse.
3. Rassembler les diverses parties [couvercle du pot, colonne, condenseur de reflux, tour de refroidissement]. Quelque chose de simple à fabriquer, à réunir, et une forte résistance à la vapeur a été exigé. Réponse à la question : la solution a été que les tubes s'emboitent par un évasement des tubes grâce à l'amabilité d'un technicien pour silencieux automobile. Ces joints sont faits à vapeur en enveloppant bien serré une garniture en papier sur l'extrémité masculine du joint pendant l'assemblage. À l'extrémité de la chaudière, le tube est fixé au couvercle par une bride soudée à l'argent.

J'ai fait plusieurs passes et c'est brillant. Le taux maximum de collecte est de 1800ml/hr et je le ramène à 600ml/h à l'aide d'une vanne à pointeau sur le contrôleur de refux. Ceci réalise un taux de refux de 3:1.

Je distille toujours deux fois, la première fois sans colonne pour dépouiller le moût de 12% à 40% et réduire le volume. Le démontage de la colonne pour cette opération de dépouillement est facile car tous les tubes se déboitent avec les joints en papier (il n'y a aucune pression nulle part) (les tubes sont évasés sur les extrémités, grâce à l'amabilité d'un technicien pour silencieux automobiles qui m'a évasé les extrémités des tubes).

Le contrôleur de reflux que j'ai fait, est une simple tasse à l'intérieur de la colonne qui collecte le distillat de la tour de refroidissement. La tasse est de 50mm de haut pour lui donner un certain volume nécessaire pour stabiliser le débit de la vanne à pointeau. Le surplus de refux déborde simplement de la tasse vers le bas de la colonne.

La tour de refroidissement est une oeuvre d'art. Je l'ai construit avec un évaporateur de climatiseur. C'était un bloc fabriqué avec des tubes de cuivre de 20 x de 8mm maintenus dans un échangeur de chaleur à ailettes en aluminium. Cet échangeur mesurait 125x100mm sur 300mm de long ; parfait ! J'ai adapté la caisse externe en métal pour :
1) le support de ventilateurs de 240V ;
2) protéger les ailettes ;
3) fermer l'extrémité de contrôleur de reflux de l'échangeur de chaleur ;
4) le support d'un emplacement pour le thermomètre.
Une extrémité de la tour de refroidissement est ouverte à l'atmosphère, et l'autre est fermée par un entonnoir de ma fabrication que j'ai glissé en haut du contrôleur de reflux. Cet entonnoir inclut un emplacement pour tenir le thermomètre.

J'ai l'intention de retoucher le contrôleur de reflux car la vanne à pointeau que j'ai faite sur mon tour est trop grossière. Typiquement, le rapport de reflux passe de zéro à 3:1 en 1/10 de tour. C'est vraiment délicat. J'ai quelques vannes à pointeau à contrôle pneumatique et celles ci devraient être bien mieux. J'ai également l'intention de retoucher la taille de la tête au-dessus de la vanne de 50mm à 125mm.

Comme je l'ai déjà dit les performances sont brillantes. Mon ingénieur conseil dans le domaine de la chimie suggère que la colonne telle qu'elle est dimensionnée est proche de l'optimum, et qu'une augmentation de chaleur pendant le reflux provoquerait l'inondation de la colonne. La physique de la colonne (je pense ?) fait qu'avec la densité du packing des laines en acier inoxydable cela correspond à une distance de plateau de 75mm à 100mm. Ainsi pour une colonne longue de 1500mm, cela correspond quelque part entre 20 à 15 plateaux, disons 15. En ajoutant l'interface liquide/vapeur sur la surface du moût dans la chaudière, cela donne 16 plateaux. Avec ce nombre l'alcool obtenu au contrôleur de reflux est à 96% et presque insipide.

Mon interprétation, sur le nombre de plateaux et de reflux,… Le nombre de plateaux et le rapport de reflux sont interdépendant. A première vue, une augmentation du nombre de plateaux correspond à un maximum de % d'alcool atteint, et une augmentation du rapport de reflux revient à maximiser la pureté du rendement d'alcool.

Jusqu'à présent ma technique est la suivante, et j'ai l'intention de l'améliorer comme suit,…
  1. Faire fermenter du sucre en utilisant un mélange nutritif à levure pour obtenir un taux d'alcool de 15%. J'avais employé le mélange suédois turbo8, et l'avais trouvé très satisfaisant. J'ai l'intention de changer ceci et de fabriquer mon propre mélange nutritif à partir d'un mélange de sulfate d'ammonium, sulfate de potassium et de vitamine B1. Pour atteindre approximativement 12% d'alcool à moindre coût.
  2. J'ai l'intention de filtrer le moût à l'aide d'un filtre à piscine (élément de papier recouvert d'une fine substance comme du sable, je pense que ce sable s'appelle de la benatite.[????]) pour enlever toutes les cellules de levure, car la distillation fait éclater les cellules des levures, ce qui libère des composants arômatiques désagréables.
  3. Concentrer le moût de 12 à 40% pour réduire son volume. Une passe sans la colonne est rapide pour deux raisons.
       (a) Sans colonne le besoin en énergie pour obtenir la vapeur du moût à travers les 16 plateaux est réduit à un interface simple sur la surface du moût.
       (b) La taille de l'appareil est réduite de sorte qu'il puisse passer sur le fourneau à 3.5kW.
  4. Reflux à 96% d'un moût concentré à 40%.
  5. Dilution de 96% à 80% avec de l'eau. Cette étape est nécessaire pour le traitement au charbon actif, pour enlever les traces des goûts non désirés. L'eau est nécessaire (je pense) parce que l'alcool est non polarisé [???], tandis que l'eau est polarisée.
  6. Maintenir le charbon actif au contact de l'alcool à 80% pendant 3 à 7 jours.
  7. Arômatiser l'alcool à 80%. Jusqu'ici j'ai continué avec des morceaux de chêne blanc américain carbonisés moyennement pour le bourbon, et j'ai l'intention d'ajouter un morceau de sucre calciné (comme du caramel) pour donner de la couleur. Les morceaux actuels que j'ai mis m'ont déçu. Peut-être n'étaient-ils pas assez brûlés, parce qu'ils donnent une saveur (indésirable) légèrement fruitée, alors que le traitement précédent apportait le goût et l'arôme (désirable) du bois fumé. J'essayerai une torréfaction supplémentaire dans le four pour voir comment il évolue. Si la saveur est inacceptable, bingo, je redistille et recommence tout! Depuis lors, j'ai fait cette étape, et le goût s'est nettement amélioré. J'ai également lancé une vodka citron, en utilisant l'écorce et le jus du citron. J'ai également quelques morceaux de chêne français pour du cognac, que je n'ai pas encore essayé. Une autre chose drôle m'a frappé pendant que je me faisais un thé à l'orange et aux herbes l'autre jour. Il m'est soudainement apparu qu'ici je passais beaucoup de temps à chercher des saveurs et ce sachet à thé que j'utilisais en contenait beaucoup. J'en ai mis dans 200ml d'alcool à 70% pendant quelques jours, ensuite j'ai dilué à 40%, ajouté du sucre et ce n'est pas une mauvaise approximation d'une liqueur d'oranges.
  8. Faire vieillir le produit à 80%.
  9. Diluer à 40% pour le boire.
  10. Éviter l'alcoolisme.

L'alambic de Smithers chez http://go.to/distil
Smithers nous dit...
    Il a un élément standard de chauffe de 2,4 kilowatts et un de 1380W pour l'alcool en interne. Je réchauffe avec tous les deux et réduit aux 1380 quand la température commence à s'élever en haut de la colonne. Je collecte à 94-95% toute une journée complète. Je connais au moins 20 personnes qui ont copié cette conception avec un grand succès.
Colonne : tube en acier inoxydable 50mm (2") x 600mm de haut
Type de packing : tampons à récurer en inox
Débit du distillat : approximativement 600-700ml/h à une pureté de 95%
Capacité chaudière : 30 litres
Coût approximatif de construction en dollars australiens.
contrôleur de température environ $60 pour le fabriquer
matériaux pour la tête (inox) environ $15
l'élément (1,38kw) a coûté $40
un carton de bière pour la soudure $20
une sonde température $18
chaudière $20 aux enchères
Le contrôleur arrêtera le 3.0kw en théorie et je n'aurai pas besoin d'employer l'élément de 1,38kw mais je préfère une montée en température rapide
Détails des éléments de construction :
  • tampons à récurer tampons à récurer tampons à récurer
  • développement d'une façon simple des contrôles de la température d'entrée, par exemple un contrôleur, un grand rhéostat, etc.
  • ne pas compter simplement sur l'écoulement d'eau pour ajuster la température finale, car ceci amènera à moins de pureté (comme les alambics simples) à moins que vous n'ayez un très bon concept (ce qui serait le mieux)
  • jeter les 100 premiers ml, ne soyez pas radin
  • équilibrer votre colonne avant de commencer la collecte
  • isoler votre colonne, vous économisez de l'argent
  • quand je distille j'aime que le distillat sorte chaud et je le laisse laisser tomber d'environ 400mm, je pense que cà aide à la la pureté finale en évaporant quelques fusels en cours de route.
  • L'isolation est très semblable à celle de type mousses que vous trouverez dans les magasins d'air conditionné comme les climatiseurs. Plus la mousse est dense, mieux elle isolera, faite juste un essai, chauffer une cruche (en métal ) et attachez la mousse avec du ruban adhésif, si vous pouvez la toucher, c'est cool (jeu de mot) s'assurer juste que l'autre côté ne brûle pas non plus, ce qui est aussi gentiment important. L'adhésif qui la fixe est une bande ordinaire.

Jan Willem chez http://www.geocities.com/homedistilling/
La colonne est de 115cm de long et d'un diamètre de 42 mm garnie avec des tampons à récurer en acier inoxydable

Le rendement est d'environ 500 mh/h à une pureté de 94%

Voir le site de Jan pour les détails au sujet de construction et la conception des options.
L'enroulement (pour le reflux) est fait de cuivre mou de 10mm, facile à enrouler mais vraiment inefficace dans l'emploi. L'enroulement a 12 spires et a besoin de quantités massives d'eau de refroidissement pour générer un reflux suffisant. Un enroulement interne est bien mieux, même des tuyaux qui traversent AU DESSUS ! sont mieux, mais je n'aime pas ces derniers parce que je veux que ma colonne soit propre et vide à l'intérieur. Cela signifie AUCUN enroulement de tuyaux ou d'autres choses dans la colonne, maintenant je peux expérimenter avec des longueurs et ainsi,la rendre également multifonctionnelle. Je peux également fonctionner avec une courte colonne VIDE façon potstill etc. que j'expérimente avec un nouveau schéma de refroidissement (sorte de) de la chose dont le dessin est ataché à ce message. J'espère que vous voyez l'idée….

Les Alambics de Peter
Colonne à reflux :
Elle n'est pas très facile (pour nettoyer). Mais je peux enlever les hublots par 4 vis. Je ne les enlève pas très souvent. Après une distillation je « nettoie » les anneaux de Raschig en les cuisant à la vapeur pendant 15 minutes en arrêtant le refroidissement du reflux. Je ne sais pas si c'est très efficace. Peut-être qu'un flux d'eau bouillante serait une meilleure solution. Cette méthode est également employée pour le nettoyage des filtres à sable dans les systèmes traditionnels de purification d'eau potable.

J'ai trouvé la colonne chez un récupérateur de cuivre, et je l'ai payé 4,50 neo-zélandais le kilo. Les hublots étaient déjà là. Je ne connais pas la fonction initiale de la « colonne ». Il est très facile de tourner la colonne, ainsi elle pourrait facilement être employée pour mélanger quelque chose?

Le raccordement entre la chaudière et la base de la colonne fait un angle parce que la colonne lourde est attachée au mur et le cylindre en acier inoxydable se tient sur la terre. Le « double tube d'ange » permet d'obtenir un bon raccordement entre la chaudière et la colonne. S'il y a une différence de niveau, ce n'est pas un problème.

Le tube dans le fond du pot est utilisé pour siphonner le moût épuisé. Pour ça, je conseille d'employer un tube d'un diamètre pas trop de faible. De manière à ce les parties solides du moût ne posent pas de problèmes pour passer au travers.

Le baquet de glycérine sur lequel il repose - faut-il l'ouvrir en haut ou l'isoler contre le pot? Maintenant il est encore ouvert parce que le pot de cuisson est en fonte. J'ai fait une version améliorée maintenant en employant une autre chaudière à partir d'un chaudron en cuivre au lieu d'une marmite de cuisine. Il sera soudé avec un tube d'expansion. Il sera également possible d'employer de l'eau au lieu de la glycérine. En utilisant un système sous dépression le point d'ébullition de l'eau diminuera. Ce système est la plupart du temps employé de nos jours par tous les distillateurs allemands. D'ailleurs : vous pouvez acheter chez ces derniers en Allemagne des alambics professionnels pour environ NZD 10.000. C'est beaucoup d'argent, mais énormément de fermiers en Allemagne et en Autriche en possèdent pour traiter leurs pommes.
Colonne avec des plateaux :

Chaque « bloc » = 5mm. Ainsi le diamètre de la colonne est environ de 100mm. Chaque niveau a 3 chapeaux standards internes d'un diamètre de 35mm. La hauteur du chapeau est de 26 millimètres. Je découvre moi-même que le NIVEAU du tube de débordement (un tous les 3 chapeaux) est très important. Un ingénieur de Jacob Karl à Stuttgart (fabricant l'équipement de professionel) m'a conseillé de rendre le niveau de ces tuyaux de débordement variable.

Le tube en U sur la partie inférieure est nécessaire pour forcer les vapeurs d'alcool à passer vers le haut seulement à travers les tuyaux de « gaz » sous les chapeaux. Dans ce tube en U il y a toujours de l'alcool liquide, de sorte qu'aucune vapeur ne puisse monter ; seulement permettre au liquide de descendre.
Alambic : (pour les distillations aromatiques)
Le serpentin de refroidissement dans le fût a 10 spires d'environ 26cm : 8,2m. J'avais du tuyau de cuivre de 12 mm en abondance et il est bon de rajouter quelques frais supplémentaires pour la sécurité. Il est fixé dans un tonneau de vin de 50l.

L'alambic d'Homer (Hillbillyman50@hotmail.com)



Diamètre : 9cm (3.5 pouces) de colonne de reflux
Taille : 40cm (16 pouces) de colonne de reflux
Packing : tampons à récurer en acier inoxydable
Chauffage : Important sur ma cuisinière électrique
Pureté : 92% à 93% selon le reflux
Débit : 92% à l'heure à 350 ml/h et 93% à 250 ml/h
Alambic : 20 litres (4 gallons)

J'ai cinq spires de refroidissement 3/4 dans le haut de la colonne.

Le coût approximatif est de $175 à $200 les vannes sont en acier inoxydable, les tubes, tuyaux, et le packing sont très chers mais c'est bien de mettre des éléments de valeur dans un alambic qui se nettoie facilement.

Le joint entre le couvercle et le pot est un tuyau de tygon résistant à la chaleur et aux produits chimiques. Vous ne pouvez pas le voir sur les photos parce qu'il n'était pas encore installé quand les photos ont été prises.

C'est très facile de nettoyer la colonne.

Diagramme de la façon faire et d'adapter les enroulements à l'intérieur de la colonne
Je viens juste de finir ma première passe avec mon nouvel alambic à reflux tout en acier inoxydable. L'alcool est sorti à 95+% très très propre. La chaudière est un réservoir de 50 litres (10 gallons) et la colonne de reflux est de 2" et 122cm (48") de haut garnie avec des tampons à récurer en acier inoxydable. J'ai deux éléments de 2000W pour une chaleur rapide. Quand le moût est à la température je peux couper un des éléments et régler la puissance en watts sur le deuxième pour maintenir une température correcte dans la colonne à reflux. C'est mon deuxième alambic et ils fonctionnent très bien.

L'Alambic de HuckMubb
Commentaires de HuckMubb :
    Utiliser deux tubes au lieu d'un seul 1/4" en cuivre a augmenté le rendement jusqu'à 900ml/h. L'alambic est très petit et les concepts sont pour des volumes faibles mais il peut être construit facilement par n'importe qui et c'est un bon exemple de fabication maison pour un débutant n'ayant pas les moyens de chauffer un plus grand alambic…

L'Alambic de Phil (email : cobra3972000@yahoo.com)
5l de chaudière

1,40m de colonne à fractionnement garnie de scrubers en inox utilisant un système de cage comme montré avec les épurateurs installés. Ceci permet un déplacement facile de la colonne. Puis un espace libre de 250mm avec le serpentin de refroidissement pour le reflux avec de l'eau coulant du bas de l'enroulement et sortant par un tuyau central vertical. Ceci permet un refroidissement progressif du haut de la colonne plutôt que présenter l'eau froide 250mm vers le bas et avoir à la chauffer en cas de manque. La colonne se démonte en différentes parties. Il y a la colonne de 1,40m diamètre de 50mm reliée à la chaudière, elle contient des scrubers en inox, puis la partie supérieure juste emboitée d'un diamètre de 54mm soudée à un diamètre de 50mm en haut. Là où se situe la jointure du 50mm à l'intérieur des 54mm j'ai soigneusement enroulé les deux ensemble pour assurer un joint étanche au gaz sans soudure ni fil. Pour rendre vraiment étanche au gaz j'ai utilisé un joint fait avec du téflon autour du tuyau de 50mm jusqu'à ce que le 54 s'emboite. C'est simple et fonctionnel.

Le serpentin de refroidissement est bloqué en haut par un plateau forçant toute la vapeur à passer au-dessus de l'enroulement à un certain point

Une jauge de mesure numérique de la température comme vous pouvez le voir est insérée pour mesurer la température de vapeur qui va au dessus vers le condenseur.

Le condenseur est de type cartouche avec 12 tubes de 6mm à l'intérieur d'un tube de 38mm. Ça représente une longueur de 635mm de refroidissement interne pour une longueur de tuyau de 8m et une superficie ÉNORME

Après quelques petites passes de nettoyage et un essai avec du vin de prune une vraie passe a été faite. 95% a été réalisé sans aucun problème. L'écoulement des spires de reflux peut être ajusté indépendamment du condenseur en cartouche. Quelques passes supplémentaires ont donné les résultats suivants ..

Je procède en reflux total pendant 30-40 minutes ou jusqu'à ce que la température de la vapeur se stabilise à 40°C. J'ouvre alors lentement l'eau du reflux et monte la température de la vapeur jusqu'à ce que j'obtienne 77°C sur le DT (la température numérique) (il indique 1,4 plus bas que la réalité) sur environ 10 minutes.

Je collecte QUEL QUE SOIT le taux de reflux, sourit et rassemble patiemment le produit final dans des récipients de 250-300ml. (bouteilles vides et stérilisées de breezer barcadi(bière sans alcool)) tard dans la passe j'augmenterai le reflux seulement une fois pour maintenir la température stable.

Une fois que l'élévation de température de la vapeur dépasse 1°C je cesse de récupérer le coeur. Je collecte quelques queues jusqu'à ce que j'atteigne 85°C puis j'arrête.

Le débit total de l'eau est moins de 20 litres/heure et avec de meilleures vannes pour contôler le débit ceci devrait chuter à environ 12 litres/h. C'est dû au condenseur de reflux qui comme par le passé n'arrive pas à se réchauffer au-dessus du T. Je n'arrive pas à le gérer finement actuellement.

La chaudière a trois éléments chauffants fort (2000W) moyen et bas. J'emploie le fort pour réchauffer le moût et le moyen pour garder l'ébullition.

L'Alambic de Ted chez http://mwci.s5.com/
Il est construit avec des matériaux trouvés dans les magasins locaux. Tous les tuyaux sont en cuivre standard de plomberie. La chaudière est une marmite de 25 litres (5 gallons). Le dessus est tenu avec des pinces à ressort, et la pâte de farine fournit un bon joint. L'alambic peut être démonté facilement pour le nettoyage. La colonne est un tuyau en cuivre de 1 pouce rempli de tampons à récurer en cuivre. Au-dessus il y a un condenseur de reflux court. Les seuls outils nécessaires pour construire ceci ont été une lampe à souder, un coupe-tube, un tournevis, et des outil de dremel pour un peu de meulage.

Avec un moût à 8%, j'obtiens du 94+% à 600ml/h. Il fonctionnera comme ça jusqu'à ce que pratiquement tout l'alcool soit parti du moût et alors l'écoulement chute et la température commence à s'élever. A ce moment j'arrête le reflux et rassemble les queues à 96°C.

Vous pouvez voir ci-contre l'habillage du condenseur à reflux qui est fait avec du 1" en dehors du T. Il y a un petit tube en plastique qui part de celui que vous pouvez voir, il va au condenseur principal. Donc, même si on dirait qu'il n'y a qu'une seule entrée pour l'eau de refroidissement il y a réellement un flux qui le traverse.

Le « Charles 803 » de Robert Warren
à http://running_on_alcohol.tripod.com email robertwarren@mail.com
C'est un alambic fait pour produire de l'alcool comme carburant, conçu pour des grands volumes, permettant de traiter 250 à 500 litres (50 à 100 gallons) de moût à la fois et de faire assez d'éthanol pour remplir votre réservoir.

L'Alambic de Marks
Pureté : 95%
L'Alambic qui fait de l'Ultra Pur chez www.puredistilling.com
Le distillateur ultra pur
Du plus grand fabricant d'Alambic d'Australie :

Pureté : 95%
Vitesse : 1,2 litre/heure
Capacité : 5L (peut être adapté sur n'importe quelle chaudière)

Retour sur investissement 100% garanti

En utilisant seulement une colonne de 25cm, il produit toujours 2 bouteilles d'alcool à partir d'une chaudière de 5L en juste 30 minutes, y compris le temps de mise en température!

Il utilise un élément de 2200W, et une structure maillée en cuivre pour une saveur douce et authentique. Il faut un thermomètre numérique pour des coupes précises.

Un vrai reflux pour un excellent prix - juste $467 livré n'importe où dans le monde - garanti.

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